Vendredi 27 mars 2009 à 22:52

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En cercle, nous nous donnions la main; toutes les six. Chacune à notre tour, énoncions nos plus grands souhaits, la gorge nouée j'ai murmuré un 'ne jamais vous perdre';nos mains tremblaient, c'était nos énergies. Je ne m'entendais plus penser, mon coeur battait sûrement trop fort. Nos six regards croisant l'un ou l'autre, nous étions là, toutes reliées; c'était inexpliquable. Chacune retournant une à une dans son lit. Mes larmes ne pouvaient s'empêcher de caresser mes joues, pour enfin venir s'éclater sur le bout de mon menton. Je leur avait enfin avoué, elles savaient, enfin. Je n'arrivais pourtant pas à m'endormir; je ne cessais pourtant pas de me demander pourquoi ne pas avoir été franche depuis le début, il restera toujours des questions sans réponses, il restera toujours des regrets, des envies. 'La liberté, c'est la seule chose de vrai, et d'essentiel; tu l'apprendras'. Il aurait pu jouer dans 'Into the wild', mon père. Mais j'en ai parlé à maman, parce que j'en avais gros sur le coeur; elle m'a dis que cette histoire était semblable à la sienne, sans rire, il s'était passé la même chose, trente ans plus tôt. De plus, ce film, il est déroutant, c'est incroyable. Quoi qu'il en soit, la prise de conscience est énorme, elles sont les indispensables; les essentielles. J'donnerai tout; pour réaliser c'qu'elles désirent le plus au monde. Et.
Aimer, passionément.

À coup de coeur

Samedi 21 mars 2009 à 23:10

Lily Alen; littlest things.

Et même si j'ai l'air d'aller plutôt bien; même si une fossette vient se nicher à l'embrasure de mes lèvres, dis moi; dis moi que nos regards ne sont pas inopportuns.  Dis moi qu'à chacun de mes pas en arrières tu seras là pour m'aider. Dis moi; toutes ses choses que l'on dit lorsque l'on aime. Ose, tente, traverse, essaye, brûle toi les lèvres. Fais le pour nous; parce que j'imagine que ça en vaut la peine. Fais glisser tes mains jusqu'à la pointe de mon dos; embrasse moi avec toute l'ardeur du monde; serre moi, ne me lâche pas; fais de ces si rares moments, des inoubliables. Tu me fais vivre, tu me rend ivre; mon amour.

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À coup de coeur

Samedi 21 mars 2009 à 19:21

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Ce que j'apelle cristallisation, c'est l'opération de l'esprit, qui tire de tout ce qui se présente la découverte que l'objet aimé a de nouvelles perfections. Ce phénomène, que je me permets d'appeler la cristallisation, vient de la nature qui nous commande d'avoir du plaisir et qui nous envoie le sange au cerveau, du sentiment que les plaisirs augmentent avec les perfections de l'objet aimé, et de l'idée : il est à moi.

__Il est difficile de mettre des mots sur mes sentiments, sur les souvenirs et sur 'nous'. Je suis emplie d'incertitude; constamment. Mon coeur approuve; mais pas ma raison. Parfois j'ai des envies de tout laisser tomber; parce que dans tous les cas; je perd. Parfois j'ai des envies de tout oublier; avant  qu'il ne soit trop tard. Mais ce serait lâche; trop égoïste. Lacher sa main; serrer le poing. Mais m'apercevoir que sans celle-ci; je tomberai; inévitablement. C'est un cercle vicieux; toujours. Et j'en ai les larmes aux yeux; de voir que nos mains ne peuvent tenir ensemble. Comme dirai Jane; mes yeux se transforment en nuage; et pour cause de condensation, la pluie tombe; à flot. L'ancien lui; s'est mis à nu; sans fautes il m'a décrit toute sa peine; j'ai cru comprendre que son nouveau départ lui avait fait ouvrir les yeux; 'c'est pour nous assurer un bon avenir' a t-il dit, je n'ai pas bien compris ce 'nous' qui pour moi ne voulait plus rien dire; plus rien du tout. Il m'a alors demandé s'il y avais à nouveau quelqu'un; je n'ai été apte que de lui répondre: "Et si je te disais que oui; ça t'aiderait à oublier ?" C'est alors que j'ai définitivement tiré un trait sur cette histoire; brulé les pages froissées par l'ennui. Relu quelques lignes; pour me rapeller; pour être sûre; et pour ne pas regretter. Étrangement; la couleur de mes yeux s'est éclaircie, j'avais peine à croire, j'étais guérie. La plaie se refermait; petit à petit, j'étais même capable de lui sourire; sans me souvenir du reste. Et je cristallise. Assise en tailleur dans l'herbe verte, je cueille une de ces marguerites, j'épluche une à une les pétales; il n'en reste plus que trois; ou quatre. Je jette la marguerite, ce doit être cette petite peur, celle de tomber sur 'pas du tout'. Mais après tout, je me lance, je tombe sur 'un peu'. Tant pis; c'est mieux que rien du tout.

À coup de coeur

Vendredi 20 mars 2009 à 20:49


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__Le soleil nous a touché en pleine face; c'était agréable; évidemment. En revanche, mon plan d'attaque; il est tombé à l'eau; c'est naz, j'y croyais pourtant, et en fait; j'avais même pas envie d'approfondir la conversation. Le mot "feeling", eh bien il passait pas. Tant pis; tant mieux. Et je sors le morceau de papier gribouillé par Cléo; le genre de petit dessin; avec nos deux prénoms entourés d'un coeur. C'était enfantin, et tendre; c'est con mais j'avais un espoir, quand même. Mon appareil photo n'a pas quitté mes mains; six cents vingts septs photo en cinq jours; apparemment, le ciel bleu et leurs sourires m'ont inspiré. "Je suis fière de ma fille" a dit mon père. Et avoir une soudaine envie de prendre un bain. De plonger son corps dans une eau bouillante et pleine de mousse. Plonger sa tête; et n'entendre que le bruit des sirènes; repenser à tout; à rien. Laisser ses cheveux se balader jusqu'au recoin du bord de la baignoire. Penser à toi; sans aucun doute; penser à nous, évidemment. Tout se suit; les mois passent; la corde se consolide un peu plus chaque jour. Tu envahies mes nuits. Toujours.

À coup de coeur

Dimanche 15 mars 2009 à 12:58

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Objectif numéro un : retenir le soleil un maximum de temps possible. ( à suivre ... )

À coup de coeur

Samedi 14 mars 2009 à 21:48

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À toutes ces choses qui n'ont pas de prix, et te croiser au détour d'un couloir; et faire comme si de rien n'était. Rêver; passionément.

À coup de coeur

Samedi 14 mars 2009 à 21:07

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La tête dans tes nuages; j'buvais leurs sourires; accrochée à nos coeurs; j'en tremblais. Une moitié de nous est déjà en quelque sorte; passée. Le ciel est un ciel de printemps. Il paraît que nous sommes une année en treize lunes. "Mais moi je veux du soleil pour l'été". Vendredi soir; nous avons démonté les matelas; et nous les avons tous étalé à terre; les uns à côté des autres; dans tous les sens. Nous étions collées; les unes aux autres, et nous nous sommes endormies; les unes avec les autres. Mais il ne manquais qu'elle pour que tout soit parfait; comme dirais Adeline, "Sans une de vous, j'peux pas." C'est vrai; sans une de nous; il n'y a rien de semblable. Vous avez le don pour faire de "nous" un quelquechose qui me noue la gorge en cette soirée. Ogmios et moi; c'est officiel; et tout le monde y croit; mais moi j'ai dis à Emma; que quelquepart; c'était juste un comble; du manque le plus profond de toi. Et ça j'en suis sûre; alors on attend demain. Demain ou après demain; car maintenant les notions du lendemain n'ont plus aucun sens. Maman est venue aux portes ouvertes; j'avais un peu peur je l'avoue; mais elle "paraissait" en forme. On m'apelle La grosse Nadine; et je suis tout à fait heureuse; finalement.

À coup de coeur

Vendredi 6 mars 2009 à 15:05

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Estelle a osé poster une photo de ses fesses; ça fait sourire. Et aujourd'hui j'ai laissé mes cheveux sécher à leur guise; un brin de naturel n'a jamais fait de mal. Autrement, maman rentre ce soir; en espérant que ce voyage fut le dernier, et le bon. Tout compte fait ces vacances étaient lumineuses, évidemment il y a eu des hauts puis des bas; mais au final; on se dis que tout s'arrangera. Que rien n'y personne ne pourrait gâcher tout ce bonheur. Et puis on se met à penser à la semaine qui suit, aux heures de travail, mais aussi aux heures de retrouvailles. Cette semaine on dormira une nuit de plus que d'habitude à l'internat, on essayera de profiter un maximum; du soleil et de nous; simplement. Et puis tout le monde me questionne sur mon "soit-disant" couple. Je me plais à croire que ceci est réel: qu'un jour, nous pourrons. Mais il faut pas trop rêver Lèa; (deux mois et deux semaines). Et sinon, ma fenêtre est entrouverte; tout à l'heure j'ai entendu une fillette pleurer à cause d'une chute à vélo; j'ai ris, en géant comme dirais Catia. Même que ça l'a fait sourire lui aussi, de me voir aussi méchante. Et puis, son message m'a donné les larmes aux yeux. À croire que tu as raison, je ne devrais pas être aussi "méchante". J'entends les oiseaux chanter, alors je me laisse bercer par leurs mélodies;  ma tête est déjà en été; j'imagine nos paires de pieds échoués sur le sable; le soleil tapant sur nos reins. Les soirées rythmées de nos rires. Je m'imagine déjà, les yeux plein de souvenirs. C'est vrai qu'à nous six, on refais le monde à notre manière, c'est qu'à nous six, on est bien plus fortes que tout. J'ai attrapé un frisson; alors je me couvre, bientôt le printemps. J'ai peur d'oublier plus tard, c'est pourquoi je m'éfforce d'écrire; de mettre tout ça par des mots, même si je m'efforce d'en cacher certain. C'est vrai ils sont sur le bout de ma langue, mais j'ai peur; tu connais déjà la chanson. Mon frère est magnifique, isn't it ? J'enrage de voir de si beaux yeux. Et dire que tu ne les avais même pas remarqué; mais je te pardonne, toujours.

À coup de coeur

Jeudi 5 mars 2009 à 10:57

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Cette nuit, j'ai commencé à écrire, notre échange, avec de vraies lettres, et de l'encre noire; toujours. C'était plaisant, voir amusant. J'en avais besoin; je crois. Et quand je me suis endormie, il y a avais encore son odeur, imprégnée sur la couverture. Son odeur est partout; j'ai beau ne plus vouloir y penser, c'est inévitable, mais ça ma donne la force, quelquepart.


À coup de coeur

Mardi 3 mars 2009 à 23:29

Vos têtes d'anges me redonnent le sourire.
C'est dur, de plus en plus, mais je tiens, j'essaye, du moins. J'puise la force de me battre dans son sourire. Il faut tenir, toujours. Pour elle, pour ceux qui nous entoure. Mais ne t'en va pas, je ne serai plus rien.




À coup de coeur

Mardi 3 mars 2009 à 21:01


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Ta main, elle me caresse la joue; et moi je manque de m'effondrer, alors je serre le poing. C'est pas ta faute, c'est pas la mienne, si tout va de travers. Il est tard, je suis encore seule ce soir. Le téléphone ne cesse de sonner, c'est toujours la même rangaine, je finis par m'en lasser. Maman a fini par me dévoiler un a un des secrets inavouables, et plus elle parlais, plus ma gorge se nouait. C'était dur, de la voir partir comme ça; dur de l'entendre respirer avec douleur, dur de ne pas savoir quoi faire. J'ai fini par me mettre à prier, comme une débile, mais c'était pour elle. Les portes de l'ambulance refermées je suis remontée tant bien que mal, mais c'était dur de paraître, dur de sourire. Mais heureusement il y avais ta main, qui me caraissait la joue.


À coup de coeur

Lundi 2 mars 2009 à 22:34


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Elle craque, c'était prévisible. Trop prévisible. Elle avait beau serrer les dents, serrer le poing, ravaler ses larmes, et tout le reste, ce n'était que repousser ce qui allait évidemment se passer. Ce sont des larmes de rage qui traversent son visage, de la haine, ils attendaient trop d'elle, ils lui demandaient trop, toujours trop. Elle n'avait pas la force d'assumer ça, pas maintenant, elle n'avais pas le courage, pas l'envie non plus. Ce n'était pas la première fois qu'elle avais mal, elle connaissait ce goût de douleur, elle se croyais assez forte, elle croyais pouvoir affronter tellement de choses. En vain.Tout le monde craque ici, elle dors plus, elle souris plus,  elle rêves plus. Elle n'arrive même pas à pleurer en fait, c'est trop dur. Elle a retrouvé celle, celle pour qui elle aurait tué, celle pour qui elle aurait donné sa vie; et tout a changé. Elles ont pris du recul, elles ont évalué objectivement les circonstances, et leur état est critique. L'une d'elle à perdu sa soeur, l'autre va perdre sa mère. Elles craquent en silence, elles ne savent même plus quoi dire, et ça les blesse davantage. On a qu'à dire qu'on vit dans une histoire, que tout se terminera bien, qu'elle arretera d'être égoïste de ses pensées, et peut être, un peu plus gentille avec toi. Il connait si bien la suite, il croit même aux miracles. Après tout, ce n'est qu'une histoire.

Elle écoute :   Dido - Don't believe in love.

À coup de coeur

Dimanche 1er mars 2009 à 22:06


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Elleluiadisdeprendresontemps.

À coup de coeur

Dimanche 1er mars 2009 à 21:49

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C'était dimanche, un peu comme tous les dimanche. On paraissait un peu plus unis. Un peu plus heureux. Maman était fatiguée, ça ne changeait pas. Il y a des mots pour toi mais que je ne dis pas, tu sais parler c'est pas mon fort. Prends ça comme une déclaration, prends le comme tu veux. Le reste, on en reparlera. J'y crois pas, une coccinelle remonte mon mur, jaune et noir, et hier, il faisait chaud, presque. J'ai même la marque du tee-shirt (menteuse). Mademoiselle est amoureuse. Jane me manques, j'crois bien qu'elle à mal, et j'sais pas tellement quoi dire, quoi faire, pour lui "changer les idées". Quoi qu'il en soit, il nous reste sept jours. Sept jours pour refaire le monde à notre façon.

À coup de coeur

Samedi 28 février 2009 à 22:22


Il faut toujours que tout se termine mal, cela aurait pourtant dû être une belle journée, calme et heureuse. Mais il y a encore des problèmes; de santé, pourtant maman commençait à récupérer; cette fois ci c'est sa mère, la douleur la fait vomir, c'est pour dire à quel point elle a mal. C'est égoiste mais je lui en veux, d'avoir encore une fois besoin de maman, parcqu'elle me manque, et parcque j'ai peur, que tout ce qui viens de se passer recommence, qu'elle reparte, que les journées soient ponctuées des coups de téléphone. "Elle va mieux ??" Non, elle va pas mieux, et non elle peut pas te parler, elle est fatiguée. Et si ca recommence, de toute façon, je n'aurai rien a dire, rien à faire, juste subir, et accepter. Papa vient de casser la dernière tasse de Maman, elle sera triste je crois; pour le moment, elle ne le sais pas, elle est partie l'aider à supporter, et à faire tout ce qui lui était impossible de faire pour cause de dose trop importante de morphine.La maison n'est encore une fois, pas au complet, il y a cet aspect vide et inachevé, en attente de la dernière pièce du puzzle, celle qui amènera notre satisfaction. Et puis j'en ai marre aussi de faire paraître cette force incroyable à toujours garder la tête haute,  marre de faire comme si tout ce que j'étais en train de vivre était facile, j'ai aussi le droit de craquer, parfois. Ce n'est pas normal de se fermer autant aux autres, pas normal de repousser quelqu'un que l'on aime parcqu'il viens vous aider à aller mieux, pas normal de faire semblant de sourire, pas normal de me dire que tout s'arrangera.  Et si j'épargne cette fin de journée, cet énième aller à l'hopital, si j'épargne la douleur, alors c' était fantastique.

Ps : Papa vient de partir, Maman n'a pas assez de force pour mettre mamie dans la voiture. Ils appellent les pompiers. J'ai peur.
 

À coup de coeur

Jeudi 26 février 2009 à 22:10

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Elle avais tout organisé, sur le bout des doigts; pour que tout aille mieux. Je n'avais aucune envie que tout se finisse, parcqu'en fait; ensemble j'étais mieux que seule. Il y avais le soleil, leurs éclats de rire, nos retrouvailles, et le reste. Rien n'aurait alors pu gâcher tout ça. Il y avais les paroles d'"angel" dans ma tête, c'était calme, paisible; manquais plus que ses accords. Apparemment j'peux pas non plus arréter d'y penser. Et même mon frère se met à me dire que je suis ridicule avec ça. Tant pis, tant mieux; on s'en contente, on essaye d'être heureux. Et puis, l'avenir peut toujours changer. Par contre, je pense dormir déjà à ton retour, on va dire que tu me pardonnera. On avais tout de même la classe en Pimkie. Et au final, elle avais tout organisé, sur le bout des doigts, pour que tout aille mieux, et tout allais mieux.

À coup de coeur

Lundi 23 février 2009 à 20:09

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Enfin, depuis tout ce temps; on comptait les jours, les minutes voir les secondes, la nuit nous tenait compagnie jusqu'à ce que s'achève nos planches. Deux poches sont venus se nicher à l'embrasure de nos cils; grossissant de jour en jour. Une barre pesante m'accompagne, juste au dessus des sourcils, alourdissant mes paupières. Je n'ai pas pris plaisir à me coucher tard; je n'ai pas pris plaisir à apprendre coûte que coûte. Je n'ai pas non plus pris plaisir à bacler des travaux pour cause de fatigue devenue trop lourde. Étrangement, je n'arrive plus à suivre, étrangement, je craque. Mes yeux me piquent. La classe commence à devenir n'importe quoi, plus personne ne viens aux devoirs, certain rendent leurs travaux plus tard, certain ne rendent pas. Tout ça devient de plus en plus dur; pas un mot de plus. Imagine nous, toi à la porte, et moi sur le seuil, après des longues journées d'absence, imagine nous, le coeur battant, la tête pleine de souvenirs, je m'étais jurée de ne plus t'approcher de peur de souffrir, je m'étais jurée, peut-être avais-je tort, de croire que je n'avais plus besoin d'une amie telle que toi. Elle a dis que notre histoire ressemblait à celle d'un film; peu de gestes d'affections, mais énormément de complicité. Je m'étonne de me voir encore assise là, à cette heure ci. Tout a vraiment changé, et je devrais tout lui raconter; mais j'ai peur. Ce n'est plus une petite passade, je suis sûre de moi. A croire que toi tu n'en est pas convaincu, mais alors que devrais-je faire ? A quoi t'attends-tu ? Je me suis fait voler mon lisseur, et mon frère, son vélo; à croire que c'était notre semaine. Deux semaines, c'est deux fois une semaine; deux fois sept jours, quatorze fois vingt-quatre heures, trois cent trente six fois soixante minutes, c'est à dire vingt milles cent soixante fois une seconde. Et l'on va profiter, et l'on va se reposer, faire comme si pendant  vingt milles cent soixante secondes nous n'avions aucun rendu, ni en Ra, ni en Epf, pas non plus en Edc, et certainement pas en Atc. On va se la jouer benaise, on va manger des (bons) légumes, profiter du soleil, dormir, voir qui l'on veut, quand on veut. On aurait pu aller skier et aller dire bonjour aux yétis mais on ne regrette pas d'être là ou l'on est. Maman est partie à l'hopital ce matin,elle me manque, et j'angoisse. Quel plaisir de ne plus rien avoir à faire; quel plaisir de ne plus se soucier du temps qui passe. Deux mois, déjà. Leslie viens d'arriver au ski, et j'aurai du, y être aussi. Il ne faut pas revenir sur les anciennes choses, il ne faut pas regretter ce que l'on a pu etre, précèdemment. "Lèa Bastard aimerai beaucoup quand même", mais ça ne depend pas d'elle tu comprends. Mes heures de sommeil perdues précédemment reviennent peu à peu. J'ai bien cru ne jamais vous revoir qu'elle me glisse à l'oreille; ma gorge se noue, elle referme la porte, puis la réouvre, elle avais oublié de me dire qu'elle m'aimais, mon ventre se tord, plus un mot ne sort de ma bouche, je reste là, maman a failli mourir, maman a failli nous quitter, maman a failli me laisser seule. De l'eau salée vient se nicher au coin de mes lèvres, je renifle, tant pis, mon maquillage est à refaire, mais maman est vivante. Elle m'a offert un appareil photo, elle dis que c'est parcqu'elle est passée près de la mort, et qu'elle veut nous rendre heureux. Je pleure, deux fois plus. Rêves pas Lèa, des frayeurs comme ça, t'en a déjà vu, et t'en verra d'autres. Lui, il est parti manger dans un de ces endroits distingués, où l'on doit porter des chemises, et où les fourchettes et les couteaux sont par trois exemplaires differents. Cet article devient comme qui dirais, un dépotoir de millions d'idées s'entremêlant les unes aux autres, et j'imagine, devient incompréhensible. Mais cowblog est en maintenance, c'est oppressant, comme tu dirais. Est-ce alors normal de se retrouver sur "petites questions entre amis" et de répondre à des questions du genre : "Penses-tu que Juliette Joubert aimerait avoir une expérience homosexuelle ?", ou bien "Penses-tu que Tudorache Paraschiv Manu devrait mieux se laver les dents ?" ou mieux, "Quel type de grand-père penses-tu que Quentin Mercier fera ?". Tout compte fait ce doit être ça les vacances, ne rien faire, et répondre à Petites questions entre amis. Mon appareil photo arrive demain, mais demain le fleuriste n'est pas ouvert, alors ce sera mardi. En avril, il sera sans doute rempli de paysages magnifiques, du bleu du Nil, et des sourires de momies; peut être aussi de dromadaires. Dans quelques instants, on s'en ira fêter le retour de maman, j'verrai tous les cousins, mêmes les belles-cousines, et les beaux-cousins, on mangera des crèpes, et on sera bien, ensemble. Le temps passe un peu trop vite je crois; et c'est pas comme si on pouvais faire arrêt sur image, et c'est bien dommage. Apparemment j'suis tombée de ma chaise tout à l'heure, on à l'air con desfois. Donne moi la main, j'te promets qu'on ira loin, et puis il y a toujours des chansons qui nous font penser à quelqu'un, inévitablement. Lundi 23 février, elle est repartie, c'était trop beau, on a beau prier tout le temps et n'importe comment, la maladie remporte haut la main. Cette fois ci, elle dors là bas, ils la garde sous leurs ailes. Moi j'ai pas dormi de la nuit, c'était pas faute d'avoir essayé, et du coup, j'étais insupportable. Remarque, j'étais bien pour une fois, je n'avais qu'à ouvrir l'espace de mes bras. Et même si ça ne soignera pas maman, j'y pensais moins, moins que d'habitude. Une mèche tombe devant mes yeux, j'attrape une barette et la coince tant bien que mal parmis toutes les autres. Je n'ai jamais été aussi énervée; c'est ma faute, si l'on en est là, et si je suis dans un tel état, c'est parcque je m'en un peu plus que tout d'en être arrivé là. Maman était tout en blanc, des fils lui sortaient des bras, de la poitrine et d'ailleurs. Une autre fille était étendue à ses côtés, elle devais avoir mon âge, quoique, quelques années de plus j'imagine. Ses parents lui rendaient visite après de ce que j'ai cru comprendre, de longs mois de silence. La mère pleurait et le père était assi sur une chaise, tandis que moi, je regardai ma mère avec la plus grande admiration du monde. Lucas fera les championnats du monde, c'est bizarre de le revoir après toutes ces années, j'm'entends encore dire à maman  -Plus tard, je serai la femme de Lucas, comme toi et papa. Mon coeur bat plus vite que la normale, mon estomac est noué, je retiens mes larmes tant bien que mal; je pleurerai sans doute ce soir, devant mon écran, et je me détesterai d'en être arrivée là. Je savais depuis le début que je n'aurai pas du, ni commencer, ni continuer, mais finir. Finir d'une manière si nulle et si égoïste que mes mains ne veulent pas l'écrire. Elle s'était jurée de ne plus jamais avoir de sentiments, elle savais que cela ne pourrait que la nuir. Et pourtant elle a cru pouvoir y échapper. Elles me manquent, les internes, c'est d'elles dont j'aurai besoin maintenant, d'leurs sourires et d'notre complicité, d'leurs bras pour me relever, et surtout de leurs yeux pour m'aider à y voir plus clair. Sinon; maman m'a laissé sa bague. Et je n'ai jamais eu aussi peur du lendemain. Et malgrè tout, y'a ces deux mots, tu sais, les plus durs à dire au monde, eh bien ils sont sur le bout de ma langue.




 

À coup de coeur

Vendredi 13 février 2009 à 23:51

C'était cinquante cinq heures de trop; malgrè le soleil.

----La semaine se finit, tant bien que mal; les yeux à demi clos n'attendent qu'une chose. Comment expliquer; c'est juste 20 heures de sommeil en moins. Apprendre, dessiner, expliquer, convaincre, réapprendre, redessiner, peindre et s'appliquer pour la tournure des phrases. Il y a aussi eu l'écrit du Bac blanc. Pour moi ça sera Sujet d'Invention, pas plus; pas moins. En maths, j'ai un peu craqué, sous le poids du stress, sans doute; les nerfs ne tenaient plus, j'imagine. On aimerait croire que ce travail permanent cessera, ou du moins se calmera; on aimerait nous aussi passer des soirées à se laisser bercer, on aimerait se coucher quand les lumières s'éteignent. Mais non, il faut croire que ce n'est qu'un début; ne faire qu'une pause, aller se doucher, cinq  minutes, pas plus; prendre le temps de penser (un peu) à d'autres choses. Et y retourner, remplir des pages blanches, et n'être même plus satisfaite; ne plus aimer ce que l'on fait; bacler le travail pour aller se coucher, plus tôt. Ne pas faire de bruit, essayer de changer ses habitudes, apprendre des critiques, essayer d'être moins agressive, plus pacifiste. Alors essayer, de faire moins de bruit. Minuit,  cinquante trois minutes, mais je ne compte plus les secondes; ma tête est fatiguée, je tombe sous le poids du travail, et par le manque de sommeil devenu trop important, à t'entendre j'attache un peu trop d'importance à mon travail; à t'entendre j'y pense trop. Mais comment ne pas y penser ? Il faut constamment rester dans la vague, ne pas décrocher, croire que l'on est aussi bon que les autres, et si tel n'en est pas le cas, s'en donner les moyens, pour s'en donner l'impression. Le fond deviens la forme, de l'infiniment petit à l'infiniment grand. Les appareils électriques ont été supprimé. Trente-cinq euros s'en sont allé dans la poche d'une autre. Je lutte; mais il m'est devenu indispensable d'écrire; afin de me dégager la tête; sûrement. L'année prochaine, c'est décidé, nous nous plaindrons moins; du moins, nous essayerons. Et demain, c'est la Saint Valentin. 23:51, je pense à toi.

À coup de coeur

Mardi 27 janvier 2009 à 15:31

Le personnage rentre en scène.


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Tout est dans le regard, forcèment. Il est revenu; comme si de rien n'était, il m'a fait le coup du "te souviens-tu ?", il s'est joué de moi, ma tête disais "barre toi", mon coeur, "je te pardonne. " Quelle conne. Je n'avais qu'une envie; qu'il parte. J'aurai du, savoir que ce n'était pas le bon moment, savoir que sa réapparition après ces longs mois, ne pouvait être que mauvaise. J'aurai du ne pas l'entendre frapper, j'aurai du laisser la porte fermée. Au beau milieu de ses excuses pathétiques, je lui ai dis "va t'en". Je n'ai rien ajouté, lui non plus. Il est parti, laissant derrière lui son odeur, et nos regrets. C'était comme si nous ne nous étions jamais quitté, c'était comme avant, comme d'habitude; je ne le detestait pas, mais je le méprisait. Il m'a demandé d'enlever cette photo, qui tapisse mon mur depuis trois ans, sept mois, quelques jours, et d'innombrables minutes. Je l'avais complètement oublié, mais il avais raison, elle n'avais plus rien à faire là. Que cherchait-il ? Était-il blessé de croire qu'un autre occupait mon coeur désormais ? Je n'en sais rien, quoi qu'il en soit, je restait, seule, assise en tailleur, et déjà des chaudes larmes commencaient à longer mes joues palies par la maladie. J'ai repris ma respiration, j'avais besoin de lui, de l'autre lui, je suis allée lui parler, comme si de rien n'était, il était beau, il me donnait envie de sourire et d'oublier la tristesse des minutes précédentes; je fut étonnée de voir à quel point je m'attardais sur son sourire. C'est quelqu'un de simple; et d'inoubliable. "Et entendre ton rire, qui lézarde les murs; qui sais surtout guérir mes blessures." Il m'en faudrait peu, pour craquer sous le poids de l'émotion, mais ce serait ridicule; pas vrai ? J'avais presque oublié, elle aussi est réapparu, sans crier gare. "Bon courage pour ton oral jeudi. Leslie" Bouche bée, et desemparée, je n'ai toujours pas compris. Ta vie Lèa, elle est pas passionante, alors arrète de croire que ça interresse quelqu'un de lire tes conneries de jeune fille pathétique et un peu trop sensible. "Mais j'suis désolée", qu'elle disais.


http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/plage.jpg































Il sort.

À coup de coeur

Lundi 26 janvier 2009 à 11:03




Je n'ai jamais été aussi malade, j'en tremble encore. J'ai pensé à vous toute la nuit, je n'avais que sa à faire. Je l'avoue, j'ai si peur de l'instant d'après, vous êtes bien plus que tout. Je sais déjà, que les "au revoir" seront déchirants, j'essaie de ne pas y penser, mais c'est en vain. Vous êtes le parcque du pourquoi je souris. J'imagine que dans trois ou quatre ans, nous aurons toutes trouvées notre chemin, les unes en illustration, d'autres en architecture, ou en communication. Je suis sûre d'une chose, nous y arriverons, chacune. Et même si je ne suis qu'une petite pièce rapportée de ce "nous", promettez moi de ne jamais oublier ces quelques années, ces instants volés. Moi je vous fais la promesse, de réussir, pour vous, pour nous. Vous n'êtes plus des amies, et seul nous pouvons comprendre les liens qui nous unissent; c'est bien plus que tout. Tremblante, et sans force, je vous remercie, pour tous les moments de réconfort et d'amour. Et je sais qu'il y a six mois de ça; je n'aurai cru quiconque qui aurait osé me dire que ma vie ne tournerait désormais qu'autour d'elles. J'avais tort.

À coup de coeur

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