Vendredi 13 février 2009 à 23:51

C'était cinquante cinq heures de trop; malgrè le soleil.

----La semaine se finit, tant bien que mal; les yeux à demi clos n'attendent qu'une chose. Comment expliquer; c'est juste 20 heures de sommeil en moins. Apprendre, dessiner, expliquer, convaincre, réapprendre, redessiner, peindre et s'appliquer pour la tournure des phrases. Il y a aussi eu l'écrit du Bac blanc. Pour moi ça sera Sujet d'Invention, pas plus; pas moins. En maths, j'ai un peu craqué, sous le poids du stress, sans doute; les nerfs ne tenaient plus, j'imagine. On aimerait croire que ce travail permanent cessera, ou du moins se calmera; on aimerait nous aussi passer des soirées à se laisser bercer, on aimerait se coucher quand les lumières s'éteignent. Mais non, il faut croire que ce n'est qu'un début; ne faire qu'une pause, aller se doucher, cinq  minutes, pas plus; prendre le temps de penser (un peu) à d'autres choses. Et y retourner, remplir des pages blanches, et n'être même plus satisfaite; ne plus aimer ce que l'on fait; bacler le travail pour aller se coucher, plus tôt. Ne pas faire de bruit, essayer de changer ses habitudes, apprendre des critiques, essayer d'être moins agressive, plus pacifiste. Alors essayer, de faire moins de bruit. Minuit,  cinquante trois minutes, mais je ne compte plus les secondes; ma tête est fatiguée, je tombe sous le poids du travail, et par le manque de sommeil devenu trop important, à t'entendre j'attache un peu trop d'importance à mon travail; à t'entendre j'y pense trop. Mais comment ne pas y penser ? Il faut constamment rester dans la vague, ne pas décrocher, croire que l'on est aussi bon que les autres, et si tel n'en est pas le cas, s'en donner les moyens, pour s'en donner l'impression. Le fond deviens la forme, de l'infiniment petit à l'infiniment grand. Les appareils électriques ont été supprimé. Trente-cinq euros s'en sont allé dans la poche d'une autre. Je lutte; mais il m'est devenu indispensable d'écrire; afin de me dégager la tête; sûrement. L'année prochaine, c'est décidé, nous nous plaindrons moins; du moins, nous essayerons. Et demain, c'est la Saint Valentin. 23:51, je pense à toi.

À coup de coeur

C'est éphémère, tout ça.

J'aimerai te dire.

Par et-vice-vers-ca le Samedi 14 février 2009 à 20:48
trop de trvaille il nous transforme un peu toute les unes aprés les autre mais on sait pertinement qu'il s'agit du poid de la fatigue ... on y arriver et toute en plus de sa. Même si ces temps si jme sent depasser
puis bonne st valentin jtm^^
Par world-ap-art le Samedi 14 février 2009 à 22:55
je dois dire que c'est cette malheureuse réalité qui nous porte mais faut pas décrocher faut tenir certe difficile ça sera mais il ne reste qu'une semaine. une semaine de pleure, une semaine a se taper dessus, une semaine sans sommeil, une semaine, juste une. le principal c'est d'etre toutes ensemble, toute dans la meme merde, on est la pour se soutenir alors courage... j'ai envie de dire c'est bientot les vacances. je taime.
 

J'aimerai te dire.









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