Samedi 13 mars 2010 à 23:09

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/2644213821017509761184927616311279354463124n.jpg
_________________Les mains glacées par le froid j'ai terminé ma pellicule de 36.
_________________Ton profil gauche surplombant le courant de la Loire. J'ai souri.

À coup de coeur

Samedi 13 mars 2010 à 13:20

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/125654.jpg___A quatre bras, on est bien.
ps: Je te promets, tout ça ira mieux, pour nous cinq.

À coup de coeur

Vendredi 12 mars 2010 à 19:12

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/Photo48.jpghttp://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/Photo49.jpgJ'avais dessiné.


À coup de coeur

Dimanche 7 mars 2010 à 20:29

Come to me my love. Sûrement dans un rêve, entre deux. Je me rappelle t'avoir pris, la main. Chuchoté un merci au creux du cou, et puis tu es parti t'asseoir, sur le rebord. Le vent chaud le fin de l'été nous apaisait. Dans le noir. Je suis persuadée que tu n'as même pas aperçu mes yeux pleurer. Tu était ailleurs.  Peut-être déjà parti.

À coup de coeur

Dimanche 7 mars 2010 à 10:29

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG4967.jpg

Pars, et ne te retourne pas. "Tu regretteras", ce sont mes derniers mots, pour toi. Je fais dans l'explicite, tu vois. Nos mains qui se frôlent n'avaient rien de significatif, et ces regards en coin de l'oeil non plus. La vérité c'est qu'on s'emmerde profondément parce qu'on a plus rien à désirer. 
 

À coup de coeur

Samedi 6 mars 2010 à 21:55

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J'avais déjà entendu ça; et ça résonnait. Je savait que ces accords me rendait malade, mais. Mais j'ai pris sur moi, et j'ai fait comme si. Il a demandé l'addition. Dans le froid j'ai cru ne plus jamais sentir mes doigts, puis. J'avais la tête accolée à un cuir froid, et je me suis endormie deux ou trois minutes, le temps de sentir un nouveau coeur battre à côté de moi. On avait sûrement pas conscience du temps qui courait dehors. Et moi qui cherchait son regard, à travers la carte, et son regard qui fuyait. "Sonate au clair de lune", et je continuais chacun de ses débuts d'accord, mais surtout en anglais. Il ne nous reste que dix semaines de cours. Et c'est le grand départ. J'ai beau me dire qu'il y a une suite logique à tout ça, que ce fameux départ ne sera que virtuel, et qu'il restera cet immense "nous", à travers les kilomètres et le travail. Et pourtant. Arrêter le temps, dans ce face à face, mêlant timidité et affront, curiosité et tendresse. J'ai trouvé cette nouveauté, celle que tu cherchais aussi. Mais je n'ose pas t'offenser, pas encore. Parcque je vois bien que tout ça n'est pas clair, et qu'il reste en toi des oiseaux qui volent jusqu'à mon cou, parfois. Je suis fatiguée de cette semaine, et des lourdes cernes me font tomber les yeux. Je ne sais plus comment m'accrocher, je ne sais plus où aller,  je balance trop fort. Je passe en boucle ce numéro quatorze, je cherche malgré moi cette photo floue, je ferme les yeux, et je m'endors sur ton parfum, qui n'en est même pas un, ton odeur, et je me déteste.

À coup de coeur

Samedi 27 février 2010 à 23:48

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG6541.jpg
Avant il y avait l'espoir, l'attente, le désir, et le jeu. "Maintenant c'est vide", et ça avait commencé comme ça. C'était sûrement trop prévisible, et puis, la lumière était sûrement trop sombre. N'empêche, que j'ai vraiment eu l'air con, à t'écouter, à t'entendre mentir. Et dire que je suis restée.

À coup de coeur

Samedi 27 février 2010 à 22:51

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/IMG7233.jpg
Pour te plaire. Et ça marche._____

À coup de coeur

Samedi 27 février 2010 à 19:19

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/SOS.jpg
_____Chacun de ces sourires, ils sont pour toi. Ils s'envolent au delà de tout. Du bout du monde.
Tendrement,________________________

À coup de coeur

Dimanche 21 février 2010 à 19:08

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG6493.jpg
On s'dit à vendredi, pour fêter la fin du bac blanc.
En attendant, demain huit heures vingt cinq, la boule au ventre.

À coup de coeur

Mardi 16 février 2010 à 23:01

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En me levant, j'étais persuadée que tout ça n'avait jamais existé, je veux dire, ce mal. Et puis, j'ai avancé en grosses chaussettes jusqu'à ma fenêtre.  Comme tout les matins j'ai attendu le lever du soleil. Rouge rose. Il a dit que c'était la seule belle journée de la semaine. Comme tout les matins je me suis dit que c'était peut être mon dernier. Et j'ai ouvert en grand. Ca a fait voler toutes mes fiches, physiques, maths et histoire de l'art. En deux semaines, seul le vent les aura touchées, je suis sûre. Après ma douche j'ai donné deux trois coups de ciseaux dans mes cheveux, parcque c'était vraiment le bordel, et. J'ai sorti une vieille jupe que j'avais acheté en Espagne, il y a deux ans, je crois. J'ai pris le premier tee shirt, et j'ai serré très fort la jupe, juste en dessous des seins. Pour une fois, je n'avais pas ce pantalon trop large, et ces tee shirt trop serrés. Je crois que ça sentait le neuf. Un peu. Et demain.

À coup de coeur

Mardi 16 février 2010 à 15:11

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG6988.jpg

À coup de coeur

Lundi 15 février 2010 à 15:21

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG6435.jpg
Certains instants sont magiques.

À coup de coeur

Jeudi 11 février 2010 à 9:48

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"J'préfère encore tout foutre en l'air que me dire que c'est foutu".

Alors promets moi trois jours de débauche, trois jours d'insomnie. A vivre comme s'il n'y avait plus rien après.

À coup de coeur

Mardi 9 février 2010 à 23:41

En fait. Je gagne.

À coup de coeur

Samedi 6 février 2010 à 11:08


Premier jour de vacances. Il paraît. La magnifique journée d'hier a laissé place à une maussade nostalgie. J'ai le coeur serré en mille, je n'ai jamais été aussi énervée, mais rien ne sort.  Impuissante c'est ça. Je n'ai plus de voix, et mon nez est mort. J'voudrais crier que je me sens indéniablement seule, mais c'est en vain. On écrit pas quand on manque de rien, qu'on est heureux, que tout va bien. Alors j'écris, le reste. Parcqu'il sait que j'ai fait la plus grosse erreur, et qu'il ne me reste qu'une tonne de regrets. Parcqu'à chaque instant, on se dit "putain, plus que quatre mois". Que le temps passe trop vite, et que dans un battement de cil, tout sera déjà fini. C'est comme si c'était hier, le goût de son sourire lors de l'ouverture de l'enveloppe. "Admise". Art appliqués. Ces trois ans, ces deux ans d'internat. Ces un an d'amour. Ces jours de doute. Ces inoubliables sourires. A chaque seconde. On passe notre temps à dire que tout va trop vite. Et après. Tout ce qu'on oubliera sûrement jamais. Bordel, y'a rien de mieux que d'être ensemble. Se sentir un. A mille.
 
 
Et chacun dans son appartement. Paris, Lyon, Nantes, Blois, Montpellier. Les premiers soirs auront un arrière goût de nostalgie, c'est forcé.

À coup de coeur

Samedi 6 février 2010 à 10:54

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/IMG5291.jpg
Fais moi chanter. 

À coup de coeur

Dimanche 31 janvier 2010 à 10:13

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/DSCF5266.jpg
On s'est fait rêver. Les toits de Paris, et le bruit des marches des vieux escaliers d'Estienne. Il ne manquait que toi, of course.

À coup de coeur

Dimanche 24 janvier 2010 à 20:04

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/DSCF5251.jpg___Contre ton épaule, au rythme de ton coeur.

À coup de coeur

Samedi 23 janvier 2010 à 13:22

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/DSCF5222.jpg

J'ai descendu la rue en nuit. Je voulais m'arréter pour prendre une photo, du monde, des autres, de la vie. J'ai sorti mon appareil et j'ai fait tomber son gant, sans m'en apercevoir. J'avais la musique très fort, comme d'habitude, alors je n'ai pas entendu la femme qui m'interpelait pour le gant. Finalement, elle m'a pris l'épaule, et elle m'a tendu mon gant, sans paroles. On a échangé un regard, juste ça. J'avais la tête trop ailleurs, à force. Pourtant j'avais le choix, de descendre en bus, c'était facile. Et j'ai choisi la rue, noire, de monde aussi. Juste pour m'accrocher à ses yeux, une ou deux minutes de plus. J'aurai pu monter dans son bus, histoire de croiser son regard, encore. Jusqu'à la nuit, et au matin. J'aurai voulu, comme toutes les autres fois, rester. Faire le tour de ses grains de beauté, au détour des sourires. Alors comme d'habitude j'ai regretté de partir. J'ai envoyé un "Don't you know how much I miss you". Et j'ai repensé au parapluie, rouge, et tous nos mots. Le genre de moments qui pince le coeur, Cinq mois. Juste ça. On a tous ravalé nos larmes, trop de fierté, je crois. Et à côté de ça, il me manque tes mots. Un an en fumée. Il manque les nuits où tout est toujours plus facile à avouer, où il suffit de fermer les yeux. Et. Et pour être honnête, j'ai peur que tu ailles si loin.

À coup de coeur

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