♥
Samedi 14 novembre 2009 à 13:17
À coup de coeur
Vendredi 13 novembre 2009 à 22:25
À coup de coeur
Samedi 7 novembre 2009 à 21:35
À coup de coeur
Vendredi 6 novembre 2009 à 21:18
Tu as toutes les raisons de penser que je suis la pire des filles, la plus bornée, la plus égoïste. Tu as toutes les raisons de penser que je n'ai jamais été à la hauteur. Toutes les raisons de m'en vouloir, pour toujours même, parcque j'ai été la première, parcque tu n'as jamais mérité ça. Finalement, je l'ai bien cherché. Je ne peut m'en prendre qu'à moi, parcqu'en jouant avec toi, je savais que je finirais par perdre, parcque je perds toujours à ce jeu. Je sais. Je sais que j'ai perdu la meilleure chose qui pouvait m'arriver, et je sais que je ne pourrais pas trouver mieux. Alors finalement, je regrette, tu vois, je m'en veux. Je m'en veux de te croiser et de baisser les yeux; de faire comme si. Alors que. Et j'ai trop joué avec le feu, jusqu'à m'en bruler les doigts tu vois. J'ai la gorge serrée en mille, et je sais que j'ai tord. Le pire c'est que je n'ai même pas à t'en vouloir, même pas. Le pire c'est que je ne sais plus très bien comment on va. Et surtout toi. Tu as toutes les raisons de penser que je ne serais plus jamais celle que tu croyais; toutes les raisons de m'en vouloir plus que d'en vouloir à n'importe qui. En revanche, tu n'as pas le droit d'oublier tout ça, ce minichemin, le notre. Trois cent vingt jours, sept mille six cent quatre-vingt heures, quatre cent soixante mille, huit cent minutes, vingt sept millions six cent quarante huit mille secondes. Et tu n'auras pas le droit de me contredire lorsque je dirais que ses millions de secondes étaient sûrement les plus belles, jusqu'à maintenant.
À coup de coeur
Mardi 3 novembre 2009 à 12:08
Le ciel est gris, gris. Moche même. Le genre de ciel qui fait qu'on se lève jamais, qu'on reste là, dans son lit, à fermer les yeux, à rêver du soleil. Rêver des rayons, sur les peaux. Les bronzées. Le genre de ciel qui se lève jamais, unpeu comme nous. C'est pas faute d'avoir essayé pourtant. Et en même temps, en écoutant Madworld. J'ai juste à lever les yeux, le spectacle de la nature. Des millions, nan, des milliards de milliards de gouttes d'eau, qui font la course, elles ont l'air méga déterminées, de toutes façon les jours de ciel gris, y'a qu'elles qui sont déterminées. Même les arbres ils font la gueule. Alors pour pas faire la gueule, et pour faire quelque chose de ma journée, j'ai décidé de me mettre au piano (parcque la guitare j'arrivais pas, mes doigts aussi ils faisaient la gueule), enfin, j'ai décidé d'essayer de me mettre au piano. Demain, maman change d'âge, alors c'est unpeu l'occasion de lui faire un beau cadeau. Et maintenant, j'arrive unpeu à jouer mistralgagnant.
À coup de coeur
Mardi 3 novembre 2009 à 0:03
À coup de coeur
Lundi 2 novembre 2009 à 23:41
À coup de coeur
Dimanche 1er novembre 2009 à 21:41
Lille, c'était Daras. On a overquiphé.
À coup de coeur
Jeudi 29 octobre 2009 à 14:08
À coup de coeur
Mardi 27 octobre 2009 à 20:40
À coup de coeur
Lundi 26 octobre 2009 à 23:26
À coup de coeur
Samedi 24 octobre 2009 à 21:29
À coup de coeur
Samedi 24 octobre 2009 à 21:01
Lèa dit: Y'a pas plus perdue que moi, j'te jure.
À coup de coeur
Samedi 24 octobre 2009 à 12:19
À coup de coeur
Vendredi 23 octobre 2009 à 22:31
"Tu as deux choix: l'ignorer, faire comme si de rien n'était, ou bien tout remettre en question..."
À coup de coeur
Vendredi 16 octobre 2009 à 22:09
Il y a toujours un moment où la patience arrive à terme. Où les nerfs lachent, et l'on ne controle plus rien. Ce moment, on pourrait l'appeler l'instant x, parcqu'on peut jamais vraiment le déterminer, qu'il a toujours une valeur différente. On pourrait aussi, juste l'appeler, saturation, ou fatigue mentale. Tellement d'autres. Ce moment où; sans jamais vraiment savoir pourquoi, tout nous insupporte, où la moindre parole, devient tout une montagne. Où un rien, nous fait perdre tout moyen, tout contrôle. Je sature. Je sais, je me plains mais. J'y arrive plus; j'ai mal, et je sais plus comment on fait pour plus avoir mal. Je sais même plus comment c'était avant, quand il y avait pas ça. Et il y a elle, que je ne supporte pas, plus. Qu'on; même. C'est pas possible de faire semblant, parcque ça en devient trop ridicule. Il y a cet esprit, ce vieil esprit de compétition, cette course à la première place. Cette course, cette bataille, c'est pathétique. Mais ils ont trouvé la clef; le moyen, d'y parvenir, pas nous; alors tant pis. Je me renferme chez moi, car la pile de travail est trop grosse. Les sujets s'entassent, j'ai beau les regarder, c'est pitoyable, je suis pitoyable devant ces planches, je ne suis rien. Finalement, qu'un pion, qui arrivera dans le peloton de fin. Mais au moins, je serai arrivée. J'aurai terminé la course. Plus que sept mois, avant juin. Et c'est la fin. L'art appliqué. Ce sera finalement plus que du passé. Un passé commun, des chemins, beauc oup trop différent. Et parfois, j'arrive à penser que cette filière, elle ne me correspond pas; que je n'aime pas cette superficialité, cette "image", que l'on se donne, ce rang, que l'on s'attribue, l'importance que l'on apporte au Matériel. Il y a tellement d'autres choses, ailleurs. Et si j'écris ça, c'est sûrement sous le fait de la colère. Catia t'avais raison, on écrit pas quand on est heureux, que tout va bien. Et quand ça change, les mots jaillissent, finalement. Mais avant la fin de ces sept mois, avant cette fin, il y a la pile de travail, qui attend. Alors on stoppe les mots, on reprend son crayon, sa tête. Et on passe outre de cette fatigue mental, on travaille, encore, toujours. Pour la premiere place, pour les battre, les achever. Oupas.
À coup de coeur
Dimanche 11 octobre 2009 à 10:50
À coup de coeur
Samedi 10 octobre 2009 à 17:00
Si au moins j'avais le temps, et la force. Même juste un peu.
À coup de coeur
Samedi 3 octobre 2009 à 22:46
On devrait toujours dire avant, l'importance que les gens prennent, tant qu'il est encore temps. J'ai peur, c'est vrai. Pour ne pas mentir. Il y a des fois, où je me dis que c'est peut être la dernière. Le déclic, de vouloir vivre un peu plus fort. Comme si c'était la dernière fois. Pour tout, et puis, pour rien. Malgré tout le travail, tout les sujets, tout les ratés, les moyens. Il y a toujours moyen de se dire, que finalement, "qu'est-ce que c'était bien" . Et puisque nous partirons, chacun notre tour; puisque le temps emportera tous nos souvenirs; nos liens, nos nous. J'ai peur de ne plus me lever en croisant vos sourires, j'ai peur d'oublier votre voix, j'ai peur, mais. Il y a cette soif, de vivre, et mordre, à pleine dent. Cette putain de vie. Pour nous, et principalement pour vous, je me battrai, quoi qu'il arrive. Pour chaque instant, chaque seconde. Et qu'il me reste du temps, pour vous.
À coup de coeur
Samedi 3 octobre 2009 à 22:12
À coup de coeur
<< █