Dimanche 20 septembre 2009 à 11:17

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Au fait, les marinières sont à la mode ; et on se perd, inconsciemment.



À coup de coeur

Dimanche 20 septembre 2009 à 10:47

Summer 78; Goodbye Lenin.

À coup de coeur

Samedi 19 septembre 2009 à 18:10

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Que reste-t-il de nos amours ; que reste-t-il de ces beaux jours.

À coup de coeur

Samedi 19 septembre 2009 à 16:25

Elle sature, en oublie les photos, les mots et les sourires. Enchaîne heure après heure,  et doit tenir, malgrè l’accumulation. Elle en oublierai presque l’amour ; lorsque seule, le soir dans son lit, elle pleure. Seule, si seulement, elles étaient moins seules, moins égoïstes, moins ; ou plus proches.  Juste. Elle regrette le temps d’avant, le temps des inconsciences, le temps. Est-ce qu’elles tiendront un an ?  Et  ce n’est qu’une passade.

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"  Deux secondes pour vous regarder. Vous faites enviez plein de gens, dont moi je peux te le dire, avec votre punaise d`amitié. Vous êtes si proches, si .. belles entre vous! Non mais c`est dingue, comment vous formez un groupe, votre groupe. Tout en étant capable, d`aimer d`autres. Penses a tout les bons , et les excellents moments que tu as passé avec elles. Tu regretteras ça plus tard, j`en suis sûre. "

Jane

À coup de coeur

Mardi 1er septembre 2009 à 11:28

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Quand il faut reprendre la route, il se met; toujours à pleuvoir.

À coup de coeur

Vendredi 28 août 2009 à 23:25

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Je suis restée assise là; au moins deux bonnes heures, ne pensant à rien, enfin à tout, peut être. Tout était devant moi, les réponses, à toutes mes questions. C'était devenu évident, et en même temps, je cherchais la complication. Le détail qui casserait toute cette hypothèse; qui contredirait juste, une seule petite chose. "Tu t'entremêles, et tu restes enfermé. " J'avais beau chercher. Bordel, c'était juste, simple. Pour une fois. Y'avait rien de complexe, rien de malsain. Et j'me suis juste dis. Que j'avais pas à m'en faire, que tout ça c'était du passé, et que cette fois, ce serait l'histoire de ma vie. Du bonheur, juste, du bonheur. Que la chose compliqué, celle que je cherchais, c'était juste moi; mais que j'avais aucune raison d'être compliquée dans cette simplicité. J'ai même pas pu verser deuxtrois larmes, parcque le sourire aux lèvres j'me répétais, c'est lui, c'est l'bon. Il est unique, mais bordel, c'qu'il est simple. Et c'est ça qui était bon, d'se dire que dans les milliards de gens que tu peut rencontrer dans une vie, tu rencontres LA personne.
 

À coup de coeur

Mercredi 26 août 2009 à 23:48

T'as d'la chance d'habiter à des kilomètres de chez moi Catia, parcque sinon, à cet instant précis, tu serais dans mes bras, coeur contre coeur, et j't' empêcherai de respirer tellement.


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À coup de coeur

Mardi 25 août 2009 à 23:12

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Tourner les pages.

À coup de coeur

Dimanche 23 août 2009 à 22:14

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Elle m'a délicatement posé ce masque sur les yeux. Satin, noir. J'avançais, en aveugle. Elle a ouvert une porte; et j'ai senti cette chaleur, ces odeurs. Elle m'a pris les épaules, m'a fait signe de m'asseoir, toujours en aveugle. Mon cœur battait à milles, et je me suis assise. Les jambes entrouvertes, les mains sur le ventre, la tête en suspens. Il y avait cette voix, qui passait en boucle, pour chacun d'entre nous, la même. Un souffle d'air chaud; d'abord dans le cou, lent, doux, mais prenant. Tout s'est enchainé très vite, le souffle, sur les mollets, les genoux, puis. Et ces mains, qui parcouraient mon cou, mes épaules, puis. Je ne me rappelle plus quand ces lèvres ont approché mon oreille. Je ne me rappelle plus si c'était avant, ou après le baiser. Mais je me rappelle de l'odeur de tabac; de l'ambiance rouge. Des appuis sur mon torse; sur. C'était hors du temps; complètement ailleurs. Comme si toutes les règles avaient été échangées, que les limites avaient été larguées en l'air, comme ça, comme une plume. Cette plume, entre. Et mon cœur, battant à mille. Je n'avais pas bougé d'un centimètre, enfin, ma tête s'était appuyée contre un coussin, dont je ne connaissait pas l'existence, en aveugle. J'avais le souffle coupé, et je devais être ridicule, sur ce siège, entre toutes ces mains. Et puis, je me suis levée, toujours en aveugle, je suis sortie comme je suis rentrée, avec cette pointe d'excitation en plus. Déboussolée, ils ont lancé un "alors ?". Alors, c'était bien. Cette sensation de perdre un sens, et de ressentir cent fois plus par les autres.

Mais aimer; plus que désirer mon coeur.

À coup de coeur

Dimanche 23 août 2009 à 17:11

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Il y a ceux que tu perds, pour une dispute, ou à cause de la distance, et ceux que tu perds; sans jamais rien avoir demandé. Ceux qui partent, là où personne ne sait. Ceux à qui tu n'as pas pu dire au revoir. Ceux qui te manqueront, toujours. Qui sont partis; à jamais.
 

Marie; 21/08/2009  
La plaie est béante.

À coup de coeur

Vendredi 21 août 2009 à 10:43

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Les plans sur la comète sont les meilleurs,  et ça m'a donné espoir, plus que tout.

À coup de coeur

Jeudi 20 août 2009 à 16:51

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" Dis, j'trouve quand même que l'bonheur est assez généreux avec nous en ce moment. "


À coup de coeur

Mercredi 19 août 2009 à 22:45

 

 

Petite note du mercredi soir, vingt deux heures quarante cinq.


En ce mercredi caniculaire, j'ai revu Valentin, il m'a parlé de cette fille; aux cheveux immenses, et j'ai été jalouse, un peu. J'ai construit le plus gros mensonge du monde à Q, mais il ne m'a pas cru; évidemment. J'ai regroupé toutes nos vidéos, de cette année, et puis j'ai rajouté « intermission », de cdp, ça donnait bien, au final. J'ai eu Juliette au téléphone, elle m'a parlé de Cardiff, un tout petit peu, mais on a surtout parlé de ça, pour changer. J'ai appelé Emma aussi, parce que ça faisait longtemps, on a parlé de Ludmila, de Souquaïna, et de tout le reste. Et j'ai eu Q, parce qu'il me manquais, terriblement. Il m'a dis que ce n'étais pas le moment d'y penser, et qu'on y pensera au moment venu, j'ai acquiescé, mais je n'en pensais pas moins. Maman continue ses malaises, ça donne la chair de poule, même à quarante degrés à l'ombre. Et samedi, j'irai me baigner, à Chinon, avec elles.

À coup de coeur

Mardi 18 août 2009 à 23:01

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J'veut faire comme Lucas, Bernard et l'autre. Conduire, à mille à l'heure. Sur une grande route; et elles. A chanter mala vida à tue tête. Et crier notre liberté.

À coup de coeur

Lundi 17 août 2009 à 21:24

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/Sanstitre2-copie-5.jpgDélicatement, j'imaginais déjà ses mains frôler mon ventre brûlant. J'imaginais ses lèvres sur le bord de mes épaules, comme un enfant, cherchant ses repères. En aveugle, avancer doucement, frôler, caresser. J'imaginais déjà les sensations; j'avais hâte, de redécouvrir, comme une enfant. Cette sensation, d'aimer passionnément.

À coup de coeur

Lundi 17 août 2009 à 12:49

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Un peu au ralenti; à perte de vue.

www.youtube.com/watch

À coup de coeur

Dimanche 16 août 2009 à 23:32

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/Photo1534.jpgCet après midi, sous le soleil de plomb; les vitres ouvertes en grand, j'ai conduit, pour la première fois. C'était jouissif, un peu.

À coup de coeur

Dimanche 16 août 2009 à 20:27

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Il est difficile d'imaginer de quoi sera fondé notre avenir. Difficile de croire que notre situation, stable; pourrait être amenée à finalement, changer. Tous  ces piliers, que l'on se construit, pour se dire "forts". Il arrive un instant ou l'on en vient à compter les jours, les semaines. Et dans un an. Quels seront mes piliers; de quoi sera rythmée ma journée. Il fait peur, cet avenir, cette route, que l'on commence à cent, à vingt; à six. Cette route qui nous oblige à avancer. Quoi qu'il arrive. Les mois passent à une vitesse incontrôlable; on se persuade d'avoir le temps; et quand on croit figer un instant; il passe; déjà. Et cette dernière année, qui donne une boule dans le ventre. La dernière. Ces neuf mois. On l'imagine dure, et insurmontable. Je suis sûre qu'elle sera magnifique; encore. On essayera de profiter, le maximum. Comme d'habitude. On reprendra la route, cette dernière petite route, du dimanche soir, au vendredi matin; ces souvenirs encore inconnus. On passera, bac, permis, on cherchera des écoles, on sera refusés, acceptés; on se séparera. Comme ça; les larmes aux yeux, le coeur serré. On écrira des romans, sur notre amitié; sur nos souvenirs incongrus, finalement, sur notre passé. La vie continuera, laissant derrière elle, douzes mains tendues, six gorges nouées. Et puis. Les bords de mer paraîtront vides, toutes ces musiques, aussi débiles soient-elles; sonneront tellement faux. Les photos ne seront plus si sincères; les couchers de soleil, perchés sur des lits superposés, n'existeront même plus. Il est difficile d'imaginer de quoi sera fondé notre avenir. On imagine, ceci; cela. Et ces mots, qui sortent d'une personne de dix sept ans; c'est dérisoire.

À coup de coeur

Jeudi 30 juillet 2009 à 23:35

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J'ai plongé mon nez dans son tee shirt; j'ai fermé les yeux, bien sur, pour apprécier un peu plus cette odeur; une once poivrée. J'ai revu tout les instants; les sourires, les 'toi et moi'. Je suis seule; me rappelant chaque instant, depuis le quinze juillet, au soir. Jusqu'à ce matin, vers midi. Il y avait depuis ce quinze, toujours une main prête à être tendue, un regard à croiser; oui; il y avait, toujours quelqu'un. Alors, forcément. J'ai relu tous les mots, revu tous les instants figés. C'était quand même magique, formidable, extraordinaire. Inoubliable. Il y avait nous six; nous nous sommes redécouvertes; ouvertes à des confidences qui, semblaient être enfouies dans le fond de nos têtes. Il suffisait de se laisser aller. Nous nous sommes découvertes des parties inconnues dans chacune. Certes, parfois, décevantes, mais toujours, enrichissantes. Il suffisait de parler, car, le secret, était là; parler; sans tabous; sans gênes, et sans retenues. L'amitié. Sans juger, juste écouter, apprendre. Nous avons refait le monde, à notre façon. Avec pour seule limite, l'horizon. Et quand certaine se demandaient ce que leur moitié pouvait bien être en train de faire à des centaines de kilomètres,  d'autres se demandaient si un jour, elles allaient revoir celui pour qui elles étaient en train de tomber. Et les rencontres, plus incongrues les unes des autres. Tant de souvenirs, tant de sourires. Et puis, l'arrivée du soleil; son arrivée. Se réveiller en pleine nuit; tendre la main; et. Ne jamais se sentir seule; pleurer contre une épaule. Fredonner un premier je t'aime; dans le noir; car c'est toujours plus facile. Recevoir le plus coule des cadeaux d'anniversaires. Ne pas être capable de le remercier; car c'est trop. Beaucoup trop d'émotions. Et se déchirer, au bout milieu de la nuit. Faire battre notre coeur à mille. Vouloir faire changer les choses. Au final, être juste; jeune; et avoir peur de perdre l'autre; pour une raison, banale et quelquoncque. Aller se coucher, dans un lit, vide. Sentir au fond de la gorge, quelquechose qui s'appelle larme. Fermer les yeux, et sur un air de Françoise Sagan; se laisser envahir. Et bonjour nostalgie.

À coup de coeur

Mercredi 15 juillet 2009 à 18:34


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" Je sais qu'il n'y aura pas un jour, pas une heure ou ton visage forcera le passage dans mon esprit; m'obligeant à penser à toi. "

À coup de coeur

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