Samedi 7 août 2010 à 14:36

http://leaetcaetera.blogspot.com/

À coup de coeur

Mardi 27 juillet 2010 à 0:39

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Sometimes, you just look in front of you, you just open your eyes. And you realize, there is so many good things that we ignore. I've found one of those. Don't care about what they say, don't care about whatever. I'm living, I'm leaving.

 

À coup de coeur

Mardi 20 juillet 2010 à 22:43

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C A P
"On a pas tout notre temps ."

À coup de coeur

Lundi 19 juillet 2010 à 13:29

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Si je n’avais qu’une heure d’amour, si c’est tout ce qui m’était donné, une heure d’amour sur cette terre c’est à toi que je la consacrerai.

À coup de coeur

Samedi 17 juillet 2010 à 21:36

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Je voudrais que tu sois là, que tu sèches les larmes que j'ai trop retenues, je voudrais que tu me dises que ça ira. Je voudrais me relever. Ne pas rester sans cesse par terre à attendre, et puis finalement, craquer. Je voudrais que tu vois, comme j'ai mal. Que tu essaies, juste de voir. Qu'il y a autre chose. Regardes comme j'ai perdu à tant vouloir donner.

À coup de coeur

Samedi 17 juillet 2010 à 15:13

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" Allez faut avancer, jambe gauche, jambe droite, après le reste va suivre, ça s’appelle avancer. "

Tu vas me manquer.
                                                       Plus que.

À coup de coeur

Mardi 13 juillet 2010 à 20:46

J'abdique. Et pourtant...

À coup de coeur

Jeudi 8 juillet 2010 à 10:14

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Les choses ont toujours un goût amer quand on sait que ce sont sûrement les dernières.

À coup de coeur

Lundi 5 juillet 2010 à 23:03



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De toutes façons j'ai toujours eu ce défaut, parler pour ne rien dire, consoler en parlant de tout, et surtout de rien. Et puis tu étais certainement plus paumé après, qu'avant. Au moins, y'avait plus de larmes, c'était ça de gagné, ça de perdu aussi. Ca m'a rappelé cette nuit, les larmes ridicules, qui voulaient juste dire que. J'me passe en boucle massive attack, et demain ce sont les résultats du bac. Dix heures, Estelle passe me chercher à la maison, on retrouve les autres une derniere fois là bas; un calin, et ça ira mieux. Deux étoiles filantes plus tard, je pouvais pas m'empêcher de sourire à ses regards. On a fait  un voeu ensemble, ça paraissait sorti d'un film mielleux, tellement mielleux qu'on a juste souri, finalement. Je n'ai pas touché à mes carnets de croquis depuis mon echec pour Estienne, je crois que ça me passera, mais pour l'instant, c'est frustrant. Dans un mois pile je serais marquée d'un point. L'équilibre c'est ça, le concept qui décrit les situations où les « forces » en présence sont égales, ou tel qu'aucune ne surpasse les autres. Et encore une fois, je parlais pour ne rien dire sous ce ciel bien trop rempli d'étoiles, et elle a juste lancé un "en deux mots, je t'ai déjà tout dit". Tout ou trop, je sais plus. Et finalement, l'équilibre c'était ça, le haut le coeur quand elle feind l'envie. L'intensité; et pourtant, la stabilité, envers et contre tout.

À coup de coeur

Vendredi 2 juillet 2010 à 23:23

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"Et les autres, je leur prouverait qu'ils avaient tord"
J'ai décidé de lever le voile. J'ai trop attendu, j'ai trop esperé. Que tu fasses le premier pas j'imagine. Et si tu crois que pour moi c'est facile d'écrire, tu te trompes. Ma pire faiblesse, c'était sans doute ça. Dire ce que je pensais, vraiment. Puisque j'esquive toute conversation lorsqu'il s'agit de mes sentiments. Je crois que je suis bien dans tes bras, mieux que nul part. Je crois que je pourrais passer des heures à te regarder, juste à deviner chacun de tes sourires. A contourner tes joues de mes doigts. A mourir d'envie de te dire ce que je ne dis jamais. J'aime cette facon que tu as de faire de ces instants, des inoubliables. Cet air que tu prends à chaque baiser, juste pour attendre le moment où l'on sourira. Ton cou. J'aime quand il fait si chaud mais que peut nous importe le reste, pourvu qu'on soit, ensemble. Et ces deux mots, cette jonction formidable qui fait chavirer un monde, alors, oui, je te promets, un jour, même si ça fait déjà si longtemps. Depuis la neige, depuis tout ça. Et j'ai eu raison de croire en tout ça. De croire que l'on pouvait changer les choses, de croire que tout s'arrange, toujours. "Vivre". Alors vivons, écrivons l'histoire, à notre manière. Projettons. Jusqu'à perdre haleine dans un duel mêlant larme de joie et sueur. Que tu fasses le premier pas.
 

À coup de coeur

Mercredi 30 juin 2010 à 11:18

I believe in it, i believe in your promises, even if. Because I think things could change, if we believe in. I've given you my hand and my heart because I supposed you needed it. Don't waste your chance, because it is the last one. We'll take our time. I can't swear you something perfect, I just swear you something better. Without hurt. Cause we suffered enough. Believe me when I say you're the one. We've got a future in our hands, do not destroy it, do not break it. My small.
 

À coup de coeur

Mercredi 30 juin 2010 à 4:12

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Il faudrait que je commence à me faire une raison. Il faudrait que je commence à oublier qu'il n'y aura plus aucun dimanche soir confidences; plus aucun lundi matin Jack Jonhson. Que plus jamais nous ne serons réunis dans une salle de cours, à écouter le même discours, à s'ennuyer à mourir en philosophie. A s'inventer un monde juste en regardant par la même fenêtre. Trois ans. A redouter la fin, même si c'est déjà trop tard. Je me rappelle exactement le premier jour. Je n'avais aucune idée de ce que pouvaient être les arts appliqués, je cherchais la salle E213. Je me souviens j'avais encore ce sac ridicule, et ces chaussures noires. On avait encore aucune idée de tout ce que ça pouvait être. L'art appliqué. Et même maintenant, je crois qu'on en serait tout aussi incapable d'expliquer ce que c'est, finalement. On dirait juste: c'est une experience exceptionnelle. Et beaucoup de travail, une vie sociale restreinte, et une amitié incomparable. Du soutien. Et puis, le dernier instant, face au miroir d'une salle de bain vidée de ses cinquantes locataires. Un quatre voix sur l'envie d'aimer, des larmes de rire qui dissimulaient un peu trop bien la nostalgie qui émanait de nos regards en coin. J'ai commencé "away we go", car il me l'avait conseillé, mais je me suis endormie. J'ai du aller chez l'ophtalmo pour la cicatrice, j'ai les pupilles encore dilatées, et j'ai d'ailleurs du mal avec le clavier. Je deteste les salles d'attente, puisque je n'ai jamais rien d'autre à faire que d'inventer une vie à ceux qui m'entourent. La musique était un peu trop forte, et il faisait un peu trop noir, je suis rentrée pieds nus parcque j'avais un peu trop mal. Sur le chemin j'ai repensé à ses derniers mots, je me suis demandé si finalement je n'avais pas été trop sèche, mais tant pis, je ne suis pas le genre de filles qui s'excuse, de toute façon. Les étoiles ont beau tourner, j'ai l'esprit tout à fait clair. J'ai beau essayer d'y croire; je suis persuadée que la chute sera brutale, et on dira "ce sera pas faute de t'avoir prévenu". Et c'est comme ça, je reste. Parcque j'ai l'audace de penser qu'on peut changer les choses.


À coup de coeur

Vendredi 25 juin 2010 à 23:00



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En vrai, j'ai des projets plein la tête, et le reste, c'est pour que tu crois que je ne m'accroche pas.

À coup de coeur

Jeudi 24 juin 2010 à 14:57

http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/Egypte2010075.jpgLe paradis, c'était sûrement ça. Les yeux fermés, coeur contre coeur. A en couper le souffle. Alors ça y est, le bac est terminé. Puisque l'on s'est tous retrouvé là, à boire pour faire tomber la pression. A lever nos verres à cette fin, cette inévitable fin. Demain je termine juste par mon oral facultatif d'espagnol; histoire de remonter un peu tout ça. Le soleil s'installe, et j'ai un hématome sur la jambe. « Come back and haunt me » c'était ça le deal. J'ai les notes de « l'un part, l'autre reste » en tête, nous quatre assises devant ce grand miroir. Elle a demandé si nous n'avions rien à avouer, pour le dernier soir, et en fait si. Je me disais que, je ne leur avait jamais dit merci. D'avoir donné du sens, d'avoir toujours su être là. De m'accepter. Et on a pleuré. Je m'en vais essayer de dormir au soleil. Mais je te le promets, il y aura d'autres matins goût perfection, et. Tes bras.

À coup de coeur

Samedi 19 juin 2010 à 23:19

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Il parait qu'on est train de passer le bac, reste plus que la physique, la recherche appliquée, l'histoire de l'art, l'anglais, et l'espagnol. Il parait qu'on joue gros.

À coup de coeur

Mardi 15 juin 2010 à 22:47

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Les jours passeront et, tu m'oublieras, c'est ça le jeu.

À coup de coeur

Mardi 15 juin 2010 à 22:05

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Je me suis retrouvée là, dans cette gare. Crée en 1896, par Victor Laloux, et non par Jean Nouvel. Je me suis retrouvée là, toute seule, sans musique, sans téléphone, sans rien. En la quittant j'avais dit « j'espère juste croiser personne, j'espère juste pas engager de conversation ». Je voulais juste croiser des regards inconnus, échanger des sourires à des gens que je ne reverrais jamais. Dans le bus, y'avait ce gars, que je croise souvent, pas très grand, brun, mal rasé. Elle m'a dit qu'il m'avait reconnu, parc qu'il me regardait avec insistance. Moi j'ai juste souris. Je me suis dit que c' était juste étrange, et je me suis demandé s'il savait. Évidemment que non. Il est descendu une station avant moi. En descendant j'ai croisé le regard de cette fille, elle était toute seule à la table, elle avait l'air de dire « je sais ce que tu es », alors je l'ai fixé, jusqu'à ce qu'elle arrête. C'était pas vraiment son regard qui me dérangeait, c' était sa façon de me faire comprendre qu'elle avait pitié de moi. Et ça m'a rappelé ce matin, quand je parlais de cette décadence de la société, à cet homme, quand mes yeux devaient lui crier « mais regardes moi, je suis pathétique, alors essaies pas de me faire dire des mots superficiels, là, je peux juste te dire que j'ai fait ça en pensant à ses lèvres, sur les miennes, et à rien d'autre ». Mais mon oral s'est bien passé, oui, j'ai souris, on a parlé graphisme, illustration, déni d'orientation sexuelle et autres. Ça m'obsède, c'est ça, à croire qu'on lit en moi comme dans un livre ouvert. Ça vous passionne, avouez. De tout savoir, sans rien comprendre. De lire machinalement tout ça. Tout ce bordel. Alors j'ai continué, j'ai accordé cinq minutes à ce gars, on avait le même piercing, j'avais l'air cool, je marchais pas très vite, et puis j'étais toute seule, alors j'avais je cite, « aucune raison de lui dire non ». Je lui ai dit que c'était vrai, on avait le même piercing, j'étais plutôt cool, je marchais pas vite parcque j'étais triste, et j'étais seule, et c'était surement ça la raison. Mais j'ai quand même répondu à ses questions. Et puis je lui ai souhaité du courage, parc qu 'il allait surement pleuvoir, mais c'était juste parcque j'avais aucune idée de ce que je pouvais lui dire d'autre. J'ai d'abord tourné à gauche, et puis à droite. Je me suis retrouvée là, dans cette gare. A sauter dans le premier train. Celui d'Orleans, comme tout les samedis où je descends en ville, enfin, où je retourne à la maison. J'ai regardé la gare de l'intérieur du train. Je me suis dit que je ne m'en étais pas si mal sortie, que j'avais fait le deuil, oui. Mais, je ne suis pas descendue à la même station que d'habitude, j'ai préféré marcher sur les bords de Loire, parce que je déteste cette forêt, ces 2043 pas que je dois faire en passant par le chemin habituel. Non, j'avais besoin de changement. Vraiment.

 

À coup de coeur

Lundi 14 juin 2010 à 21:17

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Sans mentir, j'ai juste une énorme boule au ventre là, j'ai beau connaitre chacun de mes sujets sur le bout des doigts, je suis juste, ultra paniquée. Et puis j'arriverai pas à dormir, encore, et pourtant, c'est de cette nuit là dont j'aurai eu besoin, plus que n'importe quelle autre. Alors pensez à moi, demain, 9 heures.

À coup de coeur

Lundi 14 juin 2010 à 15:13

"J'ai ton odeur encrée sur l'oreiller, la douceur de ta main sur le creux de ma hanche, le goût du sel qui se mélange à celui des regrets. Ne pars pas, fais de cet instant une éternité. Restes, serres moi, fort. Prends moi la main, fais moi oublier."
http://et-puis-plus-rien.cowblog.fr/images/2009/profil.jpg
C'était ça, la simplicité.

À coup de coeur

Dimanche 13 juin 2010 à 23:58


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